Faire sa généalogie, c’est se poser des questions et encore des questions sur ses ancêtres.
Pour débuter, certains recommandent de questionner son entourage. C’est ce que l’on enseigne à l’école aux enfants. Inciter les grands-parents à raconter leurs souvenirs, recueillir des anecdotes sur leur enfance ou un parent apportent des détails à nos recherches. Les interviewer est donc très enrichissant.
Le site « GENEALOGIE PRATIQUE » propose 120 questions à poser, regrouper par thème.
120 questions généalogiques à poser à vos grands-parents – genealogiepratique.fr
On retrouve dans le livre « Mon bullet journal- Généalogie-, journal de mes recherches » des questions que l’on peut se poser sur un ancêtre : Identité, vie citoyenne, lieux de vie, vie religieuse…Ces thèmes peuvent d’ailleurs être repris comme méthode de classement des documents et photos en notre possession.
Sur le blog « Les traces de vos ancêtres », on vous propose comme méthode de travail : 20 questions essentielles » à poser à la famille . Elles sont regroupées par thème également comme vie personnelle, famille immédiate, les dates clés, la jeunesse et les loisirs…
20 Questions essentielles pour votre quête généalogique
Sur le site « My Heritage », c’est 25 questions à poser absolument. Elles sont plus intimistes il me semble comme : Quels sont vos regrets, vos croyances, le plus grand changement dans votre vie… mais aussi amusantes comme : enfant, quelle était votre gourmandise préférée, quelle est votre meilleur souvenir…
25 questions généalogiques à poser absolument – Blog MyHeritage
Genéafinder propose dans sa rubrique « Ressources » un guide d’entretien et d’Interview avec la possibilité de créer un dès comportant une question sur chaque face.
Selon moi, cela doit rester une conversation agréable et un moment de partage plutôt qu’un questionnaire intrusif. Les photos peuvent d’ailleurs aider à l’évocation de ses souvenirs.
Cependant, la mémoire familiale n’est pas toujours fiable, des légendes peuvent se transmettre de génération en génération sans avoir de véracité. Il faut donc encore et toujours vérifier et sourcer les faits.
Par ailleurs, on peut établir son propre questionnaire pour effectuer nos recherches sur chaque ancêtre et l’utiliser comme feuille de route. Cela peut être une méthode de travail.